Être heureux ? Être un bien portant !
Pour ma part je suis plutôt heureuse quand j’ai la santé. À ce moment j’ai la liberté et l’énergie nécessaire pour m’oxygéner en faisant de l’exercice, l’énergie pour élever ma conscience par les connaissances et la connexion à mon âme (mon guide intérieur).
Suite à une lecture du docteur Nortin M. Hadler, j’adhère à son raisonnement. Il utilise le terme « être un bien portant ». Pour être un bien portant il faut croire en son invulnérabilité. Car personne ne peut être à l’abri de symptômes durant toute une année. Par exemple : brûlures d’estomac, douleurs aux articulations, au dos, éruptions cutanées, palpitations, de la fatigue, maux de tête, constipation, etc.
Être un bien portant requiert d’avoir l’énergie nécessaire pour que le corps retrouve son équilibre par lui-même.
Avoir l’énergie nécessaire cela signifie qu’on a passé sa vie avec un statut socio-économique confortable. Qu’on a réussi à éviter de s’enliser lors des évènements négatifs survenus à la maison ou au travail. Ces circonstances peuvent nous démotiver et nous rendre hostile. Qu’on a eu la chance de choisir des dispensateurs de soins aux mains de qui l’on a été protégé de l’iatrogénèse, ce sont les interventions médicales qui font du tort, et de la médicalisation.
Peut-on devenir un octogénaire bien portant ?
La consommation de médicaments soutient très peu les objectifs primordiaux de l’autonomie et du confort. Il y a très peu de médicaments disponibles capable de le faire et leur efficacité est limitée. Des rapports démontrent que les effets indésirables sont presque aussi probables que les effets bénéfiques. Nous sommes responsable de notre santé, c’est à nous de bien s’informer auprès de plusieurs ressources, d’aller chercher plus d’un avis médical et puis de faire notre propre choix.
Isabelle Gendron
Naturothérapeute chez Globe Santé
Source : Malades d’inquiétude ? Nortin M. Hadler, m.d. Traduction de Fernand Turcotte, m.d. aux éditions Les Presses de l’Université Laval.